Aujourd’hui est lancée une pétition sur le site de la Chambre des communes qui vise à protéger adéquatement les écosystèmes canadiens de la contamination des animaux génétiquement modifiés.

Victoire : Après 13 ans de combat, Paul François gagne définitivement contre Monsanto - Bayer

« Les entreprises ne devraient pas pouvoir contrôler les personnes, les semences, les plantes et les aliments par le biais du droit des brevets. » - Percy Schmeiser, 2007.

Saviez-vous que depuis la fin d’année dernière, vous avez peut-être consommé une pomme génétiquement modifiée (GM) ? Il s'agit du premier fruit GM cultivé en Amérique du Nord.

Le 4 août dernier, The Conservation publiait un article d’opinion qui fut fortement partagée sur les réseau sociaux. Cet article vantait à tort les bénéfices environnementaux de l’agriculture industrielle mondialisée au détriment de l’agriculture biologique de proximité. Un article qui illustre bien ce qu'est le « cherry picking » : suivez le guide.

Alerte !!! On veut disséminer des châtaigniers d’Amérique génétiquement modifiés (GM) aux É.-U. et au Canada. Faites connaître votre désaccord en signant la pétition de CBAN.

Encore cette année, Vigilance OGM est heureuse de confirmer l’absence de maïs sucré génétiquement modifié (GM) dans les épiceries testées au Québec dans le cadre de sa 8e campagne annuelle de dépistage de maïs sucré GM. Cependant, avec un échantillonnage limité à une vingtaine d’épiceries de différentes bannières, cela n’exclut pas qu’il puisse en exister.

Vigilance OGM souhaite réagir à la suite du vote contre la fusion de Semences Canada. En effet, l’Association Canadienne des Producteurs de Semences (ACPS) s’est prononcée contre la fusion telle que prononcée à plus de 55%.

En ce moment même, cinq organisations de la filière des semences passent au vote pour fusionner. À terme, si le vote passe, l’industrie (Bayer, Corteva, BASF, etc) aura des pouvoirs règlementaires sur le devenir des semences. Cette fusion, promue sur l’autel de l’efficacité, sonnerait le glas des semenciers et sélectionneurs indépendants, réduirait le choix des variétés et nuirait aux droits des agriculteurs de ré-utiliser les semences conservées à la ferme.